En couple depuis 8 ans et parents d’une petite fille de 6 ans, on a eu des hauts et des bas.
On s’en relève à chaque fois et on a appris, à mesure des années, à communiquer et à se parler ouvertement de ce qu’on aimerait faire, sexuellement parlant.
Les premières années de notre fille ont été un peu compliquées du point de vue intime, je ne m’aimais plus du tout, j’avais une grosse baisse de libido et on ne se parlait quasiment pas. Notre vie de parents avait complètement pris le dessus sur notre vie de couple.
Un jour sans que je ne m’y attende vraiment, mon homme s’est ouvert à moi, en me parlant de sa tristesse sur notre éloignement. Il m’a parlé de ses doutes et il disait aussi me comprendre. Il m’a avoué se masturber beaucoup parce qu’il ne voulait pas me mettre de pression et moi je lui disais que ce n’était pas l’envie qui me manquait mais plutôt de la fatigue accumulée et un manque d’estime de mon corps de maman. C’est ce jour là que j’ai compris qu’il y avait un réel manque de communication dans notre couple.
On a parlé une bonne partie de la nuit, de nos envies et de nos fantasmes les plus intimes. De la vision de la sexualité en tant que parents et d’autres choses. C’était à la fois enrichissant, excitant et touchant, parce que c’était la première fois que mon homme se livrait autant, sur des sujets parfois tabous.
Quelques jours passent et on a l’occasion de se retrouver seuls sans notre enfant. Notre discussion a eu un déclic sur moi et a eu un effet de boost sur ma libido.
J’ai proposé à mon homme de se faire un après-midi en amoureux avec au programme restaurant et cinéma.
Je ne lui dis rien de mes intentions coquines mais en me préparant je n’ai pas mis de sous vêtements.
On arrive au restaurant, on est peu nombreux et on est installé au fond de la salle. Le repas se déroule, on se reparle de nous. Au moment du dessert, je commence à le chauffer sous la table avec mon pied. Il est surpris parce que ce n’est clairement pas dans mes habitudes de faire ça, mais il ne me repousse pas. Il sourit et m’incite à continuer en caressant ma jambe. Je frotte son entrejambe mais son jean est trop épais pour que je le ressente vraiment. Il m’indique qu’il commence à bander et qu’il a envie qu’on s’éclipse. Il me demande d’attendre un peu pour que la pression redescende, il n’a pas envie que son érection se remarque.
On se rend au cinéma, là encore nous ne sommes pas beaucoup dans la salle et ça m’arrange bien.
On s’installe au dernier rang. Une fois la lumière éteinte je reprends où je m’étais arrêtée dans le restaurant, et je commence à caresser l’entrejambe de mon homme, doucement. Personne devant nous ou sur les côtés, il n’y a aucun risque de se faire voir alors je lui défais son pantalon. Je sors de ma zone de confort pour réaliser un de mes fantasmes, et à voir l’enthousiasme et l’excitation que ça suscite chez mon homme ça m’excite encore plus.
Je sors son sexe de son boxer, et je commence à le masturber. Lui me glisse à l’oreille qu’il a très envie de me toucher aussi. J’avais mis une robe que j’ai relevé sur le devant et je lui ai pris la main pour qu’il la mette entre mes jambes et accède directement à mon entrejambe. L’accès était facile car je n’avais pas mis de culotte, exprès.
Il commence à me caresser, pendant que je le branle. Le film débute mais l’excitation est trop forte. J’aime ce côté interdit de la situation et je m’applique à le masturber. Lui mouille ses doigts pour masturber ma chatte et commence à mettre un de ses doigts en moi, mais ça ne me plaît pas trop, car je ne suis pas vraiment à l’aise assise à côté de lui.
Quand il bande bien dur je me déplace pour venir me mettre sur lui. J’écarte bien mes jambes et j’utilise son pénis pour caresser mes lèvres et mon clitoris. Sa mouille lubrifie mon sexe et fait monter mon excitation. Je ne le fais pas rentrer tout de suite et je me caresse encore. Son gland est lisse et je le fais glisser sur mon clito comme je ferais avec un de mes jouets. Il caresse mes fesses mais n’intervient pas plus pour me laisser prendre mon plaisir en manipulant sa queue. Il est bien raide, j’ai maintenant envie de le sentir en moi, je m’assois sur lui doucement pour qu’il s’enfonce. Je suis en appui sur le siège devant nous. Le son du film couvre les petits bruits qu’on pourrait éventuellement faire. Mais on essaie d’être le plus discrets possible.
Je monte, je descends, la sensation est folle parce que le risque d’être pris et de se faire surprendre augmente la pression et l’excitation. J’arrête les va-et-vient, il est toujours en moi, je m’appuie sur lui qui se met à me masturber. Je contracte mon périnée pour serrer son sexe de l’intérieur, et je bouge sur lui. Il m’attrape un sein et le malaxe. Je me retourne vers lui pour l’embrasser. C’est vraiment trop bon.
Il continue à me masturber jusqu’à ce que je finisse par jouir. Mais pas lui. Je lui demande si ça va et si il ne m’en veut pas d’avoir joui sans lui. Il me dit que pas du tout, qu’il est trop heureux et qu’il est content de m’avoir fait du bien.
On ne termine pas le film, vu qu’on avait manqué une bonne partie et on rentre à la maison. Il nous reste encore un petit peu de temps avant le retour de notre fille. Je propose à mon homme d’en profiter encore un peu et je lui dis que j’ai envie de me lover contre lui. On a reparlé de ce moment fou qu’on a vécu ensemble, lui m’a dit ne ressentir aucune frustration de ne pas avoir joui dans le cinéma et qu’il a adoré ce moment. On s’est encore embrassé, on s’est à nouveau chauffé et on a refait l’amour sur le canapé. Comme si on n’avait pas fait l’amour depuis des années. Cette fois-ci il a jouit et pas moi, et j’étais comblée qu’il est autant pris son plaisir.
