Je suis une jeune maman de 37 ans et en couple depuis 19 ans avec mon homme de 43 ans.
Il a été mon premier amour et je n’ai connu que lui.
Je ne suis pas insatisfaite sexuellement, mais je me dis parfois, que j’aimerais bien voir ce que cela donne ailleurs, juste par curiosité et envie d’avoir un point de comparaison.
J’ai finalement tout appris avec mon mari. Lui a connu d’autres filles avant moi, mais de mon côté, j’étais vierge de toute expérience sexuelle et amoureuse.
J’y songeais souvent jusqu’à la rencontre de Loïc à un repas de famille.
Rendez-vous pour l’anniversaire d’un cousin dans la grande maison de mes grands-parents. J’ai embarqué mon fils, qui a 14 ans, mais mon mari n’avait pas envie d’y aller.
Arrivés sur place, toute la famille était là. Il y avait quelques têtes que je ne reconnaissais pas.
Mon cousin fêtait ses 25 ans et pour l’occasion il avait invité l’un de ses meilleurs amis, Loïc, 24 ans.
La soirée se passa, mon fils faisait sa vie de son côté avec ses autres cousins et moi j’étais posée à table, alors que les autres invités dansaient.
Loïc m’a rejoint, s’installa à côté de moi et on a commencé à discuter. Le courant est bien passé entre nous.
Vers 1h du matin, les derniers invités sont rentrés chez eux, je suis restée dormir sur place et mon fils était déjà dans sa chambre.
Loïc est lui aussi resté et on s’est retrouvés seuls alors que tout le monde dormait dans la maison.
On s’est mis dans un bureau pour continuer à parler et ne déranger personne.
Nous étions pas mal alcoolisés. On s’est rapprochés, je lui ai dis en rigolant à moitié que j’étais une MILF et que j’adorerais me faire un petit jeune. Il m’a répondu qu’il aimerait se taper une femme d’expérience. Je lui ai avoué que je n’avais fait l’amour qu’avec mon mari, mais que c’était un vrai fantasme pour moi que de goûter un autre corps.
Rien ne nous empêchait de nous laisser aller, la porte du bureau était fermée, la maison était endormie et j’avais envie de lui sauter dessus.
On était assis à même le sol, côte à côte. J’ai fait le pas vers lui, j’avais de l’assurance (je pense que j’ai eu ce courage grâce à l’alcool) et j’ai commencé à prendre sa tête pour l’embrasser. Il était plus que réceptif et m’a rendu le baiser. Il embrassait vraiment bien, malgré notre état, je sentais qu’il maîtrisait.
Loïc reprit les choses en main, passa sa main derrière ma nuque et m’embrassa en remontant ses mains sur mon cou jusqu’à la base de mes cheveux. Les frissons reprenaient et l’excitation montait.
Je me mis comme défi d’être cette femme de pouvoir, qui menait la danse avec cet homme plus jeune. Je l’ai retourné afin de me mettre sur lui. Loïc se laissa faire sans résistance, comme s’il savait ce qu’il allait se passer. Je me suis assise sur lui et lui enleva son haut pour découvrir un torse musclé et tonique, tout l’inverse de celui de mon mari…
Je l’embrassais partout, lécha ses tétons pendant qu’il me caressait et me déshabillait aussi. Je me suis retrouvée face à lui, poitrine à l’air, mes seins dans sa bouche. Il les dégustaient et les titillaient du bout de la langue.
J’aurais pu jouir juste avec ce massage… Je frottais mon pubis contre le sien et je le sentais gonfler. J’ai décidé de lui déboutonner son pantalon.
Je lui ai enlevé, en faisant glisser son boxer en même temps. J’ai alors vu surgir son membre durcit et dressé vers son ventre. À tout point vue, il n’avait rien à voir avec celui de mon homme.
Je n’ai pu m’empêcher de comparer, c’était le deuxième homme avec qui je m’apprêtais à faire du sexe et jusque là je n’étais pas déçue…
Il était soigné, son pubis était entretenu et j’avais une irrépressible envie de le prendre dans ma bouche. Je ne lui ai rien demandé, je me suis exécutée.
Le pantalon enlevé, il était tout à moi : j’ai remonté vers sa queue et j’ai commencé à le gober directement, en le regardant dans les yeux. Je voyais de la surprise mais surtout du plaisir dans son regard. Je remontais et descendais doucement, j’accélérais quand je l’entendais souffler plus fort. Il m’a lâché un « Tu t’y prends trop bien » qui m'a galvanisé encore plus.
Je ne me suis pas contentée pas de sucer sa verge, j’ai gobé ses boules en massant son périnée tout en le branlant. J’ai eu le droit à des gémissements qui m’excitaient tellement. Là encore, j’ai été servie, parce que mon mari est un silencieux et là mon amant d’une nuit s’en donnait à coeur joie pour exprimer son plaisir…c’était tellement bon !
J’étais complètement investie dans ma mission, quand soudain Loïc me dit « Je vais jouir là.. », je ne me suis pas arrêtée, je voulais l’aider à jouir. Il s’est excusé d’avoir joui avant d’avoir pu me faire l’amour, mais bizarrement j’ai ressenti une satisfaction d’avoir pu donner du plaisir à un autre que mon mari, alors je ne lui en ai pas tenu rigueur.
On est restés poser ensemble, on a continué à parler et on a débriefé sur ce qu’il venait de se produire. Je lui ai dit que je n’avais jamais fait ça avant, que c’était la première fois que je trompais mon mari. Et il m’a dit « Est-ce que sucer c’est vraiment trompé ? ». Cette question a alimenté un débat et … nous a chauffé à nouveau.
Il m’a dit qu’il aurait aimé me goûter, que c’était un fantasme pour lui de faire l’amour à une femme plus âgée que lui, mais qu’il n’avait jamais eu l’occasion avant cette nuit, et qu’il ne voulait pas laisser passer sa chance.
Je me suis sentie plus femme et désirée que jamais, je lui ai dit « Alors vas-y, je suis là. ». C’était parti pour le round numéro 2 !
Mais cette fois-ci, c’était mon jeune amant qui était aux commandes, je me suis complètement abandonnée à lui.
L’effet de l’alcool commençait à se dissiper, mais l’excitation était toujours bien là. J’avais très envie que sa queue me pénètre après l’avoir sucé.
Je n’avais pas envie que ça prenne trop de temps non plus, il se faisait tard et le risque que quelqu’un se réveille était plus grand.
Malgré tout, il a fait les choses bien. Il m’a mise sur le dos, mouillé ses doigts et a commencé à me doigter, en n’oubliant pas de toucher mon clitoris. Je me tortillais de plaisir, lui allait de plus en plus vite, j’avais chaud tellement c’est bon.
Je voulais qu’il me prenne, je voyais aussi qu’il voulait me prendre, sa gaule était visible à travers son boxer. Je lui ai demandé s’il avait un préservatif. Heureusement il m’a répond oui, il l’enfila et commença à me prendre en missionnaire. Je le sentais bien, je menais le mouvement en prenant ses fesses dans mes mains et en l’appuyant sur moi pour le sentir plus profondément.
Il bougeait à merveille, un coup rapidement, puis plus lentement, se retirait pour rentrer brusquement, j’étais en transe. Je me touchais en même temps pour augmenter le plaisir.
Je lui ai proposé de mettre mes jambes sur ses épaules. Il l’a fait, j’ai senti sa bite tellement profondément cette fois que j’ai poussé un petit cri qui le surpris. Je lui ai dit que je le sentais tellement bien que je n’avais pu m’empêcher de gémir. Je pouvais apprécier la vue du « V » du bas de son ventre sculpté, bougé en moi. Il gémissait tellement que mon excitation était à son paroxysme. J’ai mis quelques minutes avant de jouir, juste avant lui.
C’était parfait parce qu’inattendu.
Je repense souvent à cette première rencontre avec celui qui est aujourd’hui mon amant clandestin.
Je découvre des plaisirs différents, on ne se prend pas la tête, on ne se promet rien, c’est physique uniquement et c’est tout ce dont moi j’ai besoin.
Je pense que si un jour Loïc s’attache je m’éloignerais mais ça, seul l’avenir nous le dira, pour l’instant on profite l’un de l’autre.