Maman d’un petit garçon de 2 ans, je suis séparée depuis 11 mois du papa.
On s’est séparés parce qu’il m’a trompé, et ce n’était pas la première fois.
Il y a eu une première séparation, au début de ma grossesse et j’ai voulu lui laisser une chance, pour notre enfant à venir surtout. La seconde fois était celle de trop.
Cette tromperie a complètement mis à mal le peu de confiance que j’avais en moi.
J’ai mis du temps à repenser à moi. Je me suis consacrée à 100% à mon enfant. Je travaille depuis chez moi, je suis à mon compte, j’avais donc aménagé mon temps pour être présente pour mon fils. Comme j’allaite, au début on avait décidé avec son père de ne pas faire de garde alternée mais qu’il le prenne en journée et en grandissant, je tirais mon lait pour qu’il lui donne en mon absence.
Je m’interdisais de penser à l’amour car je ne voulais pas être à nouveau déçue. Avec un enfant, je ne voulais pas lui imposer trop de changements. Mais j’ai appris qu’on n’est pas toujours maîtresse de ses actions.
Lors notre séparation, nous avions décidé de libérer l’appartement que nous avions ensemble avec mon ex.
Je me suis rapprochée de ma famille, je ne voulais pas me retrouver seule dans cette épreuve.
J’ai trouvé un trois pièces, dans un petit immeuble, dans la ville où j’étais au lycée.
Pendant les premières semaines je n’ai pas vraiment croisé mes voisins et j’avoue que cela ne m’intéressait pas trop. Je menais ma petite vie de maman solo.
Mais un jour, en descendant chercher mon courrier alors que mon fils était chez mes parents, j’ai croisé un nouveau voisin.
Je suis restée choquée quand j’ai découvert son visage. Il s’agissait de mon premier amour : Arnaud. J’étais sortie avec lui de mes 15 ans à 17 ans. J’avais fais ma première fois avec lui, mais on s’était séparés et perdus de vue quand je suis partie faire mes études dans une autre ville.
Il m’a lui aussi tout de suite reconnu, il était tout autant surpris. Il m’a dit qu’il habitait 3 étages au dessus du mien et qu’il vivait seul après sa séparation.
On s’est dit que le monde était vraiment petit. Ça m’avait fait quelque chose de le revoir.
Je devais repartir travailler alors je ne me suis pas attardée mais je lui ai proposé de se voir pour un café à l’occasion.
Quelques jours sont passés, on s’est croisés à nouveau dans la cage d’escalier, encore au moment de la relève du courrier. Nous étions en weekend, mon fils était chez son père. J’ai proposé à Arnaud de venir prendre ce café et l’ai invité chez moi.
On s’est installé dans mon salon, sur mon canapé. Petit expresso et discussions sur nos vies, et je me disais intérieurement que je trouvais Arnaud vraiment très charmant. J’avais à nouveau 15 ans et je me sentais encore attirée par mon premier amour. Je ne lui ai rien dis.
Lui par contre ne s’est pas gêné. Il m’a dit que dès qu’il m’a recroisé la première fois, tous ses souvenirs du lycée étaient remontés à la surface. Il m’a dit qu’il me trouvait vraiment belle et qu’il n’avait pas arrêté de penser à moi.
D’un côté, je ne savais plus où me mettre, d’un autre j’étais flattée par tous ces compliments qui reboostaient mon égo meurtri par l’histoire avec mon ex.
Je ne voulais pas lui dire tout de suite que c’était réciproque, je me protégeais et ne voulait pas souffrir à nouveau.
On s’est séparés en se faisant une bise appuyée et en se prenant dans les bras. On s’est dit qu’on essayerait de se revoir vite. Je lui ai dis qu’on pouvait se prévoir quelque chose le weekend suivant car mon fils ne serait pas là.
J’appréhendais la prochaine rencontre avec Arnaud, mais en même temps, j’étais bouleversée parce que c’était la première fois que je ressentais ces petits papillons, dans mon bas ventre, quand je pensais à un autre homme, ce qui ne m’était pas arrivé depuis des mois.
On s’est donné rendez-vous un samedi soir pour aller dîner et ensuite aller au cinéma. Je m’étais faite belle pour l’occasion et j’étais contente qu’il me le fasse remarquer.
Après un repas vraiment parfait, on s’est rendu au cinéma, où nous n’étions pas nombreux dans la salle.
Les lumières à peine éteintes, Arnaud s’est rapproché de moi. J’avais une boule au ventre mais c’était agréable et je me suis laissée faire. Au fil du film, nos mains sont devenues de plus en plus baladeuses et on a fini par s’embrasser comme les deux ados qui s’étaient laissés plus tôt. Je n’avais pas oublié ses lèvres et sa langue. Il s’était même bonifié avec le temps.
On s’embrassait passionnément et on oubliait qu’on était au cinéma. Mes mains lui caressaient le torse et passaient sous son t-shirt. Je me régalais à toucher ses abdos et sa poitrine poilue. Je passais mes doigts sur ses tétons et je les sentaient complètement durcis. Je continuais mon exploration. Il me glissa à l’oreille que je l’excitais terriblement et qu’il bandait à fond. À ces mots, le désir est monté en moi et je me réjouissais d’avoir à nouveau envie de baiser, après des mois de calme plat.
J’ai descendu ma main et je caressais la bosse que je sentais à travers son pantalon, tout en continuant de l’embrasser. Lui caressait mon corps également, en passant ses mains douces sous ma chemise. J’avais des frissons qui me parcouraient tout le corps.
J’ai déboutonné son pantalon pour sortir son sexe et j’ai commencé à le branler gentiment. Lui fit pareil et glissa ses doigts dans ma culotte pour commencer à jouer avec mon clitoris, qu’il trouva très facilement. On allait au même rythme dans nos mouvements, et on continuait à s’embrasser langoureusement. Il m’a dit « J’aime comme tu mouilles, tu peux pas savoir comme j’ai envie de toi maintenant », moi je lui ai répondu « Vas-y, prends-moi tout de suite ». Je me suis étonnée à le dire, mais j’étais tellement chaude et le moment était tellement parfait que je me suis laissée complètement aller.
Je lui ai lâché le sexe et j’ai enlevé sa main de ma culotte, je me suis levée et je lui ai demandé de me rejoindre.
Je l’ai attendu à la sortie de la salle, avant que le film ne soit terminé, de toute façon on ne suivait plus grand chose depuis un moment.
J’ai demandé à Arnaud si il avait un préservatif sur lui, il m’a répondu qu’il avait ce qu’il fallait dans son portefeuille. Je n’ai pas réfléchis et l’ai entraîné aux toilettes pour femmes. On s’est retrouvé dans une cabine et je lui ai littéralement sauté dessus . Je lui ai déboutonné son pantalon et découvert qu’il bandait toujours, bien et fort. Sa queue était plus belle que dans mes souvenirs. Sans attendre, je l’ai prise dans ma bouche et j’ai commencé à le sucer. Je l’ai regardé droit dans les yeux, j’avais confiance en moi avec lui et il me le rendait bien. Il bougeait en moi et soufflait fort. On oubliait qu’on pouvait nous surprendre…
Il a fini par mettre sa capote, et m’a retourné pour me prendre en levrette. J’étais lubrifiée à mort et je prenais mon pied quand soudain, la porte des toilettes s’est ouverte.
Je ne savais pas si on nous a entendu, on s’est arrêté, le temps de ne plus entendre personne. Arnaud était resté en moi. Dès qu’on a entendu la porte se claquer à nouveau on a repris, en mettant un coup d’accélérateur. Ses coups de rein étaient puissants, il allait de plus en plus vite et je l’aidais en bougeant avec lui, en faisant des mouvements circulaires avec mon bassin. Il allait profondément en moi, et au moment de jouir, me prit le haut des bras pour les bloquer et d’un coup a joui…mais pas moi.
Arnaud s’en voulait, je l’ai rassuré en lui disant que j’ai passé un très bon moment avec lui et que je ne regrettais pas ce qu’il s’était passé.
En rentrant chez nous, et je sentais qu’Arnaud était mal de ne pas m’avoir fait jouir. Je l’ai invité pour un dernier verre et on s’est chauffés à nouveau. Cette fois, il m’a dit qu’il s’occupait de moi. J’ai eu le droit à un cunni qui avait fini de me rassurer sur le retour de ma libido. J’ai joui en quelques minutes.
Nous avons refait l’amour encore une fois dans la nuit et nous nous sommes réveillés ensemble le lendemain.
Nous nous sommes revus plusieurs fois depuis cette soirée et on s’est redonné une chance.
Nous sommes ensembles depuis et je redécouvre une nouvelle sexualité dans le respect, le partage et l’amour avec lui.
