Je suis en couple depuis des années avec le père de mes fils, et je n’ai jamais commis aucun écart pendant toute notre relation.
Quand nous sommes mis ensemble avec mon mari, nous étions jeunes, je n’avais pas connu d’autres hommes avant lui. C’est lui qui a été mon premier et seul amour. J’avais une vision très classique du couple et de la vie maritale : on s’installait ensemble, on avait nos emplois, nos enfants et on finirait notre vie ensemble. Je n’envisageais pas une seule seconde que ce chemin que j’avais tracé pourrait un jour être mis à mal.
Après 18 ans de mariage, après les épreuves qu’on a traversées, j’ai découvert que mon mari m’a trompé. Il faut dire qu’il n’avait pas été discret et avait laissé beaucoup (trop) d’indices et j’ai fini par le confronter à cette tromperie. Ça a été un moment très pénible, parce que je me suis sentie complètement nulle et je me reprochais cette infidélité, en pensant que j’étais responsable de ça, alors qu’avec du recul je n’y étais pour rien. Et surtout, ça avait mit une claque à la vision idéalisée que j’avais de notre couple.
Passée la tristesse, il y a eu la colère, en me disant que moi, je m’étais montrée irréprochable, même quand j’ai eu des occasions. Et ensuite j’ai dis à mon mari que je lui pardonnais son écart, tout en gardant en un goût amer de ce qu’il m’avait fait.
Deux ans après ce qu’il s’était passé, j’ai à mon tour franchi la ligne, en me disant que moi aussi je pourrais m’accorder un écart.
Un week-end je sors entre copines, on dîne ensemble dans un bar-restaurant et on y finit la soirée. Avant la tromperie de mon mari, je n’aurais certainement pas cédé à la tentation ni même encouragé les tentatives d’approches. Ce soir là, c’était complètement différent.
On se retrouve à danser et un homme s’approche de moi. Je l’avais repéré car il était à la table juste à côté de la nôtre et je lui lançais de temps à autre des petits regards sur le côté.
L’alcool aidant, je suis très lascive et je l’invite à danser avec moi. Je lui dis que je n’ai pas l’habitude de faire ça et il me dit qu’il est flatté que je vienne le chercher. On danse, on s’effleure, on se tourne autour, la musique ne se prêtant pas encore au rapprochement des corps. On s’arrête, on va prendre un verre au bar, on se colle de plus en plus au fur et à mesure.
On retourne danser et le rapprochement se fait sur un morceau de zouk. J’ai de la chance, je suis tombée sur un très bon danseur, qui me colle à lui. On bouge ensemble lentement, nos torses se collent et on finit par s’embrasser. À ce moment, j’oublie tout ce qu’il se passe autour de moi, je ne me soucie pas de ce que pourrait penser mes copines, qui savent que je suis mariée. Je ne pense qu’à mon plaisir et à ce que je vis.
Je n’avais pas embrassé d'autre homme que mon mari, je me sentais un peu gauche au début, mais j’ai vite pris le pli et l’homme que j’embrassais me le rendait aussi très bien. Des baisers langoureux qui ont vraiment fait monter la température à tous les niveaux.
Je dansais en passant ma cuisse entre ses jambes et la réaction ne s’est pas faite attendre : il bandait sur la piste.
Les morceaux de zouk s’enchaînent, on continue à danser, je suis toujours d’humeur très coquine et je décide de glisser à l’oreille de mon partenaire que j’ai très envie de lui, maintenant tout de suite.
Je sors totalement de ma zone de confort en lui proposant de me rejoindre aux toilettes, ce qu’il accepte sans hésitation.
J’avertis mes copines de mon absence et l’inconnu me suit à quelques mètres de distance.
On se retrouve seuls, et on ferme la porte à clé. Il y avait un sas avec un plan avec une vasque pour lavabo, un grand miroir avec les toilettes dans le fond. À peine rentrés, nos mains se mettent à se toucher l’un l’autre. Il faut faire vite pour que mes copines ne se posent pas trop de question. Je baisse son pantalon, je constate que son érection commence. Je l’aide à bander à nouveau en l’embrassant et en le branlant à même temps. Il me caresse l’entrejambe, qui est déjà trempé. La situation est tellement folle que mon excitation est au sommet. Il introduit un doigt et me mord la lèvre en même temps. Je le branle de plus en plus vite.
Je lui dis qu’il faut qu’on le fasse vite, parce que mes amies m’attendent.
On va vers les toilettes, l’inconnu s’assoit, sort un préservatif et l’enfile. Je m’assois sur son pénis pour qu’il me prenne comme ça.
Alors que je le chevauche, je le sens à fond, il me monte et me descend en s’agrippant à mes hanches. Il accompagne mes mouvements en relevant de temps à autre son bassin, pour s’enfoncer plus profondément. En même temps qu’il me baise, je me masturbe pour jouir plus vite. Je bouge au rythme que je veux, je prends complètement le pouvoir sur ce qu’il se passe. Je vais de plus en plus vite, je sens l’orgasme arrivé. Je stimule mon clitoris de plus en plus vite, je le lubrifie avec ma salive et finit par jouir.
Mon partenaire n’a pas eu le temps de finir, mais moi je suis partie avant qu’il n’ait le temps, parce que ça commençait à faire long, surtout pour un simple pipi…
Je l’ai donc laissé finir parce que l’excitation de mon côté était retombé.
J’ai rejoins mes amies, nous sommes parties juste après. Je n’ai demandé ni son prénom, ni le numéro de téléphone de mon coup d’un soir, parce que je voulais que ça ne soit que ça.
Je ne l’ai pas dis à mon mari, mes copines n’ont pas balancé non plus, elles pensent que mon incartade s’est limitée aux baisers langoureux sur la piste et j’ai ce petit secret coupable pour moi. Je n’ai aucun regret, si je ne l’avais pas fait je pense que je m’en serais voulu.
Aujourd’hui je ne m’interdis pas de flirter et séduire, sans pour autant aller jusqu’à coucher, c’est mon petit truc à moi.