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    Pas le bon moment

    Pas le bon moment

    Nous sommes en couple depuis 5 ans et heureux parents d’un petit bout de 28 mois. 

    Depuis quelques temps, il ne se passe pas une journée où je n’ai pas envie de faire l’amour avec mon mari. Chaque mouvement est un prétexte pour l’effleurer, le toucher…

    Mon petit péché mignon c’est de le faire bander dans des lieux où il ne devrait pas bander. Ça m’excite terriblement.

    Et la dernière fois que j’ai fait ça c’était en faisant les courses, en attendant de passer en caisse. Nous n’avions pas notre fils qui était resté avec ma mère pour l’après-midi.

    On n’avait pas fait l’amour depuis quelques semaines, par manque de temps et d’opportunité de se retrouver surtout et la tension sexuelle était son paroxysme de mon côté.

    De rayon en rayon je le tripotais, il aimait ça et me disait qu’il fallait que je fasse attention qu’il ne me prenne pas au milieu du magasin. On avait très envie l’un de l’autre. Arrivés en caisse, je feins de chercher son porte-feuille dans sa poche. Il avait un jogging, je savais qu’il n’avait rien dans ses poches, mais il a joué le jeu de mon vice. Je glisse ma main et j’en profite pour le toucher aussi. Ça n’a pas loupé, en quelques secondes je commence à apercevoir qu’il commence à bander. Je le regarde en souriant et lui d’essayer de dissimuler sa trique naissante.

    On passe vite nos courses et on sort du magasin. Son début d’érection est redescendue mais moi je suis super excitée, et une fois devant notre voiture j’embrasse langoureusement mon homme, ce qui a un effet immédiat. Sa trique est revenue de plus belle. Je lui dis que j’ai très envie de le sucer sur le parking. Il rigole en me disant qu’on ne pouvait pas le faire ici, on se ferait trop griller rapidement.

    Je suis un peu déçue qu’il ne veuille pas prendre le risque, mais je comprends. On monte dans la voiture pour rentrer chez nous, c’est monsieur qui conduit. Je suis toujours dans un mood coquine et je décide de le masturber. 

    Il bande tellement dur que je lui demande de trouver un endroit où personne pourrait nous surprendre. Je lui dis que j’ai envie de le faire maintenant, parce que je ne savais pas si on aurait le temps une fois rentrés avec le petit.

    On s’arrête sur un chemin de campagne, à l’abri des regards. Et là c’est parti ! J’avais tellement envie de le sucer, je lui demande de baisser son siège et je me penche sur lui. Je le prends en bouche avec gourmandise, pendant qu’il se détend. Il commence à gémir, ce qui a le don de m’exciter encore plus. Il m’encourage en me disant que ce que je lui fais lui procure beaucoup de plaisir, qu’il m’aime. Il durcit de plus en plus dans ma bouche, je mange littéralement sa queue. Je m’occupe aussi de ses boules et je reviens gober son sexe. J’ai envie d’être salope avec lui, personne pour nous interrompre. 

    Il me demande de passer à l’arrière de la voiture. Pendant ce temps il relève le siège, son jogging et passe à son tour à l’arrière. Il m’allonge sur la banquette, baisse mon pantalon et ma culotte et plonge sa tête entre mes cuisses. Il commence à me lécher, comme il sait si bien le faire, mais vu le contexte, ce sunna avait un goût particulier et encore plus excitant que d’habitude. Il me fourre un doigt en même temps qu’il joue avec mon clito, tout en me regardant prendre mon pied. Son regard lubrique pendant qu’il me lèche fait monter ma pression d’un cran.

    Je ne sais pas si c’est le fait d’être en extérieur, d’avoir peu de temps et devoir faire vite de peur d’être vu qui a fait que nous étions chauds comme jamais.

    Je voulais être pénétrée et lui n’attendait que ça. Je ne voulais pas être en position allongée, j’avais envie qu’il agrippe mon cul. Je me suis mise à quatre pattes qu’il me prenne en levrette. 

    Je suis assez bruyante quand je fais l’amour, et depuis qu’on a une enfant j’ai considérablement réduit les gémissements, alors là, vu qu’on était à l’extérieur je me suis lâchée. 

    Je le sentais tellement bien en moi, il pinçait mon cul, s’agrippait à mes hanches et accélérait les coups de rein. On a joui à quelques secondes d’intervalle, on s’est embrassé et on est repassé à l’avant de la voiture.

    On n’a pas l’habitude de faire l’amour en public, je m’amusais juste à le faire bander mais ce petit moment nous a donné d’autres idées et à pimenter nos retrouvailles.

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